Bonjour à tous,

Je prend un peu de temps pendant mes vacances pour terminer mon article sur les chevreuil.

Après quelques recherche infructueuse, et quelques séances de cache cache avec un chevreuil qui commence à bien me connaître maintenant, je suis arrivé à la conclusion que la chasse photographique en maraudage ou bien en affût sans équipement (filet de camouflage et longue attente interminables très tôt le matin ou tard le soir) semble bien difficile.

Petite photo prise pendant mes recherches, mais ne convenant pas mon attente :

Après quelques lectures sur la question ( je vous conseille d’ailleurs le très bon livre Zoom sur La photo animalière de Cédric Girard, édition Pearson) J’ai donc commencé à modifier mes repérages en étant attentif aux différents miradors qui existent et qui peuvent représenter une bonne alternative aux affûts (tant que les chasseurs ne m’en délogent pas et que les contacts soit bon 😉 )

Par manque de temps et étant donné que pour moi la belle saison est aussi signe d’une occupation et d’une fatigue professionnelle plus intense, j’avais mis de côté la chasse photo de nos amis les chevreuils.

C’est alors que j’avais loué un chalet pour fêter ma trentaine dignement entourée de mes amis et de ma famille que le fameux proverbe :  » C’est quand on s’y attend le moins que cela arrive le plus  » a été confirmé.

Alors que la météo était complètement bouchée, pendant une pause dans les préparatifs du chalet ainsi qu’une accalmie de pluie la providence m’a permis de faire une belle rencontre.

Un jeune chevreuil qui vient à peine d’avoir ces bois, a fait son apparition pour brouter l’herbe fraîche autour du gîte. La protection du chalet m’a permis de tranquillement prendre quelques clichés. C’est quand je me suis approché au plus prêt qu’il m’a repéré pour détaler à pleines pattes.

Je vous fais partager quelques clichés de cette rencontre plus que sympathique pour clore pour l’instant le chapitre  » A la recherche du chevreuil  » en espérant que cette lecture vous a plus.

Enjoy

Photos et texte tout droit réservé à Benjamin Erhard